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Les champions du Box Office Les champions du Box Office en France

en France


Chiffres provenant du CNC (sauf précision).

le bandeau de pub


Titre Année de sortie Entrées Pays
213 Le voleur de Bagdad 1946 5 400 189 Royaume-Uni

Affiche du Voleur de Bagdad
"Le voleur de Bagdad" est sorti dans les pays anglosaxons dès fin 1940, mais il faudra attendre bien au-delà de la fin de l'Occupation pour pouvoir le voir sur les écrans français, il sort le 11 avril 1946. Les effets spéciaux et la photographie enthousiasment les critiques (et les Oscars) tandis que les enfants s'émerveillent de l'histoire fantastique.
Rapidement, le film engrange les entrées, et après 24 mois il cumule déjà 4 231 150 entrées, cinquième des sorties de 1946 sur cette durée d'exploitation.
Il surpasse ses concurrents : l'exotique-arabisant "Les mille et une nuits" (3 808 165 entrées, qui finira à 4 498 985) ou le fantastique "La belle et la bête" (3 149 176 entrées, qui poursuivra son exploitation jusqu'à 3 779 692 entrées et continue à être projeté).
Fin 1956, "Le voleur de Bagdad" atteint 4 883 843 entrées, septième plus gros succès des sorties de 1946, avec "L'odyssée du Docteur Wassell" et "Le bal des sirènes" qui ont plus attiré sur ces 8 années de poursuite d'exploitation.
Trois ans plus tard, fin 1959, "Le voleur de Bagdad" a ajouté un peu plus de 100 000 entrées, et atteint 4 988 460 entrées, toujours septième des sorties de 1946. Il est alors le 39ième plus gros succès depuis fin 1944, soit en 15 ans (il mériterait donc une place de troisième annuel).

Fin 2000, "Le voleur de Bagdad" cumule 5,14M d'entrées, et est passé devant "Le capitan", devenant le sixième plus gros succès des sorties de 1946.
En 2011, il atteint 5 224 359 entrées, 196ième plus gros succès depuis 66 ans.
Dans les années 2010-2020 il progressa notamment grâce à sa participation au programme "Ecole et cinéma".

Accueil internautes :
AC NS. SC 7,0 (564). IMDB 7,4 (13 300). K 7,3 (1665). FA 7,2 (2631). D 7,6 (1200).
Film globalement oublié des internautes, sauf des anglosaxons, qui aiment vraiment le film.